Cher Confrère,
chère Consœur
Nous espérons que l’été a
été profitable à chacun et vous souhaitons une bonne rentrée.
Nous tenons tout
particulièrement à remercier tous les Confrères qui se sont rendus disponibles
pour la défense pénale d’urgence pendant les JO, et tout
particulièrement Julie Delorme, Mathilde Martinez et Elena Sos, collaboratrices
de l’Ordre pour le mois d’août.
Si l’activité a été
soutenue, elle n’a pas été celle que nous avions crainte et notre organisation
a bien fonctionné. Merci à Vincent Bienvenu, Maxime Cessieux et Pauline
Rainaut, président et co-présidents de la commission pénale, pour le temps
consacré à la préparation de cette période.
Nous étions présents à l’Université
d’été des barreaux organisée par la Conférence des Bâtonniers et reçue par
le Barreau de Bordeaux. Nous y avons participé aux travaux sur les thèmes «
le bâtonnier acteur dans la cité : 164 combattants du droit et des territoires
», « La communication tient la barre : du calme à la tempête », « L’amiable
s’invite dans les Ordres », « L’intelligence artificielle : une chance pour le
barreau ? ».
Notre barreau est
l’organisateur du colloque
de la Fédération des Barreaux d’Europequi se tiendra le 27
septembre sur le thème « Le secret dans tous ses Etats ». Nous sommes fiers de
compter sur des intervenants prestigieux. Faisons ensemble de cet évènement un
grand moment de la vie de notre barreau. Inscrivez-vous !
Notre Confrère Henri
Leclerc nous a quittés samedi. Il
incarnait les valeurs de notre serment, avec talent et une immense humanité. Il
était notre invité de la rentrée du Barreau 2018. Son parcours, ses valeurs,
ses écrits continueront de nous inspirer : « Ce n’est que par le progrès du
droit que se fera pas à pas le progrès de l’humanité ; cela passe par le
respect des droits existants et par la conquête de nouveaux droits pour chaque
être humain devenant tous les jours un peu plus citoyen. En ce domaine, aucun
recul n’est justifié, aucune régression des droits au nom des lendemains qui
chantent ou de la révolution qu’il faut achever. C’est un combat sans fin, de
tous les jours, de toute la vie, de tous les membres de la famille humaine
égaux en droit et en dignité » écrivait-il.
Vos bien dévoués,
Isabelle Clanet dit
Lamanit et Fabien Arakelian
Bâtonnière et
Vice-Bâtonnier